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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 09:41

Les dégradations du mobilier font souvent partie des petits désagréments de la vie avec un chat. Comme la plupart des difficultés de cohabitation, ce type de problématique vient ou est aggravé par l’incompréhension de ce comportement et par des tentatives de remédiation maladroites et souvent contre-productives.

 

Griffer, ça sert à quoi ?

 

Les griffades font partie intégrante de la communication du chat. Outre les dépôts de marques odorantes, elles laissent des traces visuelles, passage après passage, et entrent également dans la communication auditive (qui n’a jamais entendu le doux bruit des griffes sur le tissu du canapé ?). Faire ses griffes permet enfin au chat d’évacuer immédiatement ses tensions.

 

Empêcher le chat de faire ses griffes (en les lui arrachant, pratique interdite en France depuis 2004 mais que certains propriétaires parviennent encore à obtenir, ou en y apposant des protections plastique), c’est donc le priver d’un moyen de communication particulièrement complet. Et cela n’est pas sans conséquence sur son équilibre émotionnel et donc sur la cohabitation.

 DSCN0810


Monsieur a fait son choix ?

 

Le chat ne choisit pas ses zones de griffades par hasard puisque, ne l’oublions pas, ce comportement a valeur de communication. Deux conditions doivent être remplies si l’on souhaite que le chat utilise le poste de griffades qu’on lui a acheté plutôt que l’accoudoir du canapé : l’emplacement et le matériau doivent lui convenir.

 

-  l’emplacement : le chat griffe à des endroits stratégiques. Quel est le point commun entre le papier peint du couloir, le paillasson de l’entrée, le tapis du salon, les pieds de la table ou encore le canapé ? Tous sont à des places stratégiques dans le lieu de vie. Ce comportement entre dans la communication du chat, il faut donc que le message soit accessible. Quel meilleur endroit, alors, que les lieux de passage (couloir, encadrement de porte) et les pièces à vivre ?


 - le matériau du support : tous ne partagent pas les mêmes préférences en terme de support. Certains vont utiliser le sisal, d’autres préférer le carton, le bois, le textile ... Quoi qu’il en soit, le revêtement du poste de griffades doit être assez solide pour faire tomber les anciennes griffes mais facilement dégradable pour laisser des marques bien visibles (Rappelez-vous, il s’agit de communiquer !) Des observations sur le terrain ont d’ailleurs permis de mettre en évidence que les chats choisissent volontairement des arbres à écorce souple qui permettent à la griffe de s’enfoncer facilement et d’y laisser une trace. Et là encore ce n’est pas un hasard.


 Nouveau griffoir : le grand test

 

Pour que vos postes de griffades aient du succès, ils doivent donc correspondre aux préférences de votre chat, tant en terme d’emplacement que de revêtement. Pour ne pas vous tromper, mettez toutes les chances de votre côté :

 

- Observez les lieux où votre chat griffe spontanément : c’est près de ces lieux qu’il faudra installer des postes de griffades.

Observez maintenant le support utilisé : s’il choisit le papier peint du couloir, mettez à sa disposition un poste de griffades en carton alvéolé. S’il est plutôt tapis ou tissu du canapé, récupérez des chutes de moquette. Il apprécie particulièrement vos enceintes HiFi ? Recouvrez le poste de griffades avec un collant !

Regardez enfin de quelle manière il fait ses griffes : s’il se met debout sur les pattes arrière, il faudra s’orienter vers un griffoir vertical (poteau ou planche fixée verticalement). S’il utilise les quatre pattes, misez sur des griffoirs horizontaux. Il fait ses griffes horizontalement et verticalement ? A vous de lui installer des postes de griffades horizontaux et verticaux.

 

 

En attendant qu’il utilise son nouveau griffoir, vous pouvez protéger votre canapé en mettant un plaid, par exemple, sur les zones à fort pouvoir attractif. Mais rappelez-vous, la punition ne sert à rien ! Et votre chat n’utilisera pas plus vite son griffoir si vous l’y mettez de force et que vous lui passez les pattes dessus. C’est un chat, ne l’oubliez pas !

 

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 14:43

IMG_0968.JPG Tradition oblige, les brins de muguet ont rejoint nos intérieurs aujourd'hui. Si cette plante séduit par le parfum de ses clochettes, il ne faut pas pour autant oublier qu'elle peut être toxique pour nos chats. Aussi, si votre matou a tendance à grignoter toutes les plantes que vous essayez d'introduire chez vous, attention à ne pas lui laisser de muguet à portée du museau.

 

Vous pouvez par contre introduire de temps à autre un pot de cataire ou même mettre à sa disposition, sur votre balcon (sécurisé bien entendu!), une jardinière où vous aurez laissé germer des graines de blé ou de seigle.

 

=> L'astuce  

Si vous redoutez qu'il ne gratte la terre et déterre les semis, vous pouvez poser un grillage à petites mailles sur la terre : il permettra aux graines de germer sans que votre chat ne joue les apprentis jardiniers.

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 08:07

V comme Vidéo du vendredi !

Une nouvelle rubrique aujourd'hui sur le blog inaugurée avec Darwin dans un face à face avec .... une toupie ! 

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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 07:04

Les vacances de Pâques ont commencé pour certains, l'occasion de faire un petit point sur un accessoire incontournable : la caisse de transport.

 

IMG_0488.jpg

 

Que votre chat soit calme ou pas, vous êtes obligé de le faire voyager dans une caisse de transport si vous utilisez les transports en commun. En voiture, vous pouvez lui préférer un harnais de sécurité qui se fixe sur l'attache de la ceinture.

Côté panier, caisse ou sac de transport, dans les grandes surfaces ou les magasins spécialisés, vous aurez l'embarras du choix.Le choix, justement, doit prendre en considération le tempérament de votre chat : par exemple, on évitera de faire voyager un chat qui a peur dans une cage grillagée, d’où le monde extérieur est bien visible. Il doit aussi avoir une taille adaptée à celle du chat et lui permettre de bien s'allonger (surtout si la route des vacances est longue).

Il faut éviter autant que possible que le chat associe son sac de voyage à un évènement désagréable (uniquement pour aller chez le vétérinaire par exemple). Inutile dans tous les cas de le pousser à l’intérieur avec force et cris pour le faire entrer : cela ne fera qu’accroître sa crainte et son stress et il pourrait vous blesser. L’idéal serait de sortir la caisse (ou le panier) bien avant le moment du départ, afin qu’il puisse la flairer voire s’y installer. Ainsi banalisée, son usage n'en sera que facilité.


=> Le petit plus  

 Installez-y une couverture ou un coussin pour la rendre plus attirante et plus confortable.

 

 

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9 avril 2012 1 09 /04 /avril /2012 15:25

Rien-n-y-fait.jpg

 

C’est vous qui le dîtes …

 

Dans les courriels que je reçois, la difficulté à punir efficacement son chat revient dans 9 cas sur 10. Constat d’échec des diverses techniques de punitions récoltées ça et là, besoin d’explication sur le « pourquoi ça ne marche pas alors que »,  demande de méthodes de punition réellement efficaces… Chaque fois la demande est la même : comment faire pour que cela s’arrête enfin ? Les mêmes difficultés se posent, le même genre de rapport à l’animal est établi et la même inefficacité desdites conduites est constatée. C’est donc qu’interagir de cette façon ne soulage en rien la situation, bien au contraire…

 

La punition : constat d’un échec

 

Bon. Visiblement punir son chat pour quelque chose qu’il a mal fait (de notre point de vue de bipèdes, puisque, rappelons-le, le chat n’a pas la notion de bien et de mal) ne l’empêche pas de continuer. Voire même aggrave la situation. Mais alors que font concrètement les punitions si elles ne servent à rien ? Elles alimentent les tensions quotidiennes du chat (comprenez ses difficultés à bien vivre avec ses propriétaires). Qui dit davantage de tensions, dit plus besoin de les évacuer (car quand la coupe est pleine, ça déborde !), donc plus de difficultés à gérer pour vous, CQFD.

 

En restant centré sur le comportement indésirable à un instant t, on ne prend en compte qu’une partie du problème, à savoir ses conséquences. Prenons alors un peu de recul, gagnons en objectivité et considérons la situation sous un autre angle.

 

Bien choisir son chat et lui proposer des échanges équilibrés : la base d’une bonne cohabitation

 

En fonction de son développement précoce (premières semaines de vie de l’animal), du type d’environnement et d’échanges relationnels (comment on se comporte avec lui) qu’on lui propose, le chat va avoir plus ou moins de facilités à s’adapter aux conditions de vie qu’on lui offre. Ainsi, dans un même contexte de vie, certains chats vont avoir des difficultés à s’établir sereinement dans leur cohabitation et vont produire des conduites différentes d’un autre, à l’histoire différente.

 vinoonoo-0140.jpg

Un peu de concret pour illustrer tout ça. La famille Addictochats souhaite adopter un chaton. Elle a le choix entre Malo, né dans un milieu confiné (c’est à dire en appartement ou en maison sans sorties à l’extérieur) et Pito, qui est né dehors, à la campagne. Puisque elle vit en appartement, on conseillera plutôt à la famille Addictochats d’adopter Malo. Pourquoi ? Parce que le milieu de vie qu’ils peuvent lui proposer sera assez similaire à son milieu de développement précoce (= là où il est né et a passé ses premières semaines de vie), il aura donc plus de facilité que Pito à vivre dans ce lieu puisque les bruits du quotidien, l’espace de vie limité et la proximité avec les humains, entre autres, seront du même ordre que ce qu’il connaît déjà.

 

Mais l’environnement physique n’est pas le seul paramètre à prendre en  considération pour évaluer les difficultés d’une cohabitation. Ce que l’on appelle « relationnel » va aussi peser dans la balance et, d’ailleurs, la clé du déséquilibre, la source de nombreuses tensions quotidiennes, est souvent là.

Derrière cette dénomination, on retrouve les divers échanges que l’on peut avoir avec son chat tels les caresses mais aussi les punitions. Si l’on a pris soin de choisir un chaton né dans un contexte similaire à celui qu’on lui offrira, il faudra également s’assurer que l’on interagit convenablement avec lui. Si l’on est clair, cohérent et constant, on devient donc rassurant et on limite les tensions quotidiennes.

 

Le chat et les incohérences de l’humain

 

Pourtant, chaque jour, le chat oscille entre nos incohérences et a souvent bien du mal à s’y retrouver ! Reprenons le cas de Malo. Il a bien grandi et cela fait maintenant plusieurs mois qu’il partage la vie de la famille Addictochats et que certaines règles ont été mises en place. Si elles trouvent logique et rationalité chez  ses humains, qu’en est-il vraiment pour lui ? Ils ont par exemple décidé que Malo n’avait pas accès aux chambres. Jusque là, aucun problème particulier. Là où le bât blesse, c’est qu’on le laisse entrer dans la chambre le weekend pour la grasse matinée. Le lundi arrive, et personne ne comprend pourquoi il miaule et gratte le matin à la porte. On va même monter le ton, lui donner une tape sur les fesses et l’enfermer dans le salon pour bien lui faire comprendre qu’il dépasse les bornes. Mais peut-être ont-ils oublié que pour Malo les jours se suivent…. et se ressemblent : il ne peut pas concevoir qu’après deux jours où on l’autorise à dormir sur le lit le matin, il doit faire une croix sur l’accès à la chambre jusqu’au samedi suivant. Que peut-on faire alors ? Choisir : soit Malo a accès à la chambre tous les jours de la semaine, soit il n’y entre plus du tout !

Cet exemple n’en est qu’un parmi tant d’autres. Nous aurions pu aussi nous pencher sur d’autres interdits comme monter sur la table du salon, faire ses griffes sur le tapis, mordiller les plantes… Ces choses-là, Mme Addictochats n’y voit pas d’inconvénients. Et laisse Malo agir à sa guise. Par contre, M. les trouve intolérables et s’applique à le corriger dès qu’il enfreint les règles. Là encore, comment Malo peut-il s’y retrouver si on attend de lui des choses totalement contraires ?

 

Mon chat ? Sous tension ?

 

Vous l’aurez compris, comme la plupart des chats qui vivent avec des humains, Malo est soumis, chaque jour, à des frustrations et des tensions diverses, qui pourraient bien lui être épargnées. Si les tensions accumulées lui sont trop difficiles à gérer, il va devoir procéder à une remise à zéro des compteurs et faire du vide. De quelle façon ? Par exemple, en mordant M. Addictochats qui le brutalise de temps en temps pour « qu’il comprenne », en urinant dans la chambre des enfants inaccessible 5 jours/7, en se déchargeant par des griffades sur les papiers peints ou le canapé, en courant dans tous les sens le soir… Sur le moment, ça le soulage, certes, mais en retour les punitions vont s’accroître. La famille va vite arriver à saturation et ne va plus savoir comment s’en sortir avec ce chat à problèmes.


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La punition ou comment déséquilibrer la cohabitation davantage

 

Pourquoi donc persister dans un type d’échanges qui ne fonctionne clairement pas ? Pourquoi maintenir des contacts punitifs et répressifs qui ne font que renforcer les difficultés de cohabitation ? D’autres  moyens de procéder existent, et pour des réponses tout autres ! On a du mal à imaginer que là où les punitions n’améliorent rien, un autre type d’échanges peut venir à bout des difficultés. Et pourtant….

 

Une meilleure gestion des échanges avec l’animal et une meilleure écoute de ses besoins pour une cohabitation équilibrée et équilibrante.

 

Voilà l’approche que je présente en consultation. A l’origine de nombreuses difficultés et tensions dans la cohabitation, on trouve une connaissance souvent erronée du chat, empreinte d’anthropomorphisme (= projection des motivations et des émotions humaines sur l'animal). Au carrefour de la communication entre deux espèces très différentes comme l’Homme et le Chat, on retrouve souvent des incompréhensions réciproques et donc des difficultés à s’ajuster convenablement à l’autre.

 

Si en France, les données scientifiques récoltées autour du chat familier et de ses besoins éthologiques spécifiques sont rares, il en est tout autre dans les pays anglo-saxons où de nombreuses études sont parues et qui permettent de s’approcher davantage de la réalité féline. Car il y a souvent un monde entre notre perception et celle du chat. Et si l’on n’en a pas conscience, il est bien difficile, alors, de proposer à nos chats un quotidien qui leur permette de se sentir bien. Il n’est pas nécessaire, donc, d’attendre que tout aille de travers pour comprendre les besoins de son chat et apprendre à mieux vivre à ses côtés.

 

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7 avril 2012 6 07 /04 /avril /2012 12:25

IMG_0847.JPG 

Vous pouvez désormais suivre l'actualité du blog et du site sur la page Facebook de Chatvamal, un moyen simple de suivre plus facilement les dernières mises à jour.

A tout de suite, c'est par ici !

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4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 15:01

OFILEQ.png

Et si, à la rentrée 2012, on allait encore plus loin dans la connaissance du chat familier ?

 

Vous êtes éleveur/se et vous souhaitez approfondir votre connaissance du Chat familier ?

Vous vous intéressez à l’Ethologie (science du comportement) ?

Vous démarrez votre élevage, vous rencontrez des difficultés ou vous souhaitez simplement partager votre expérience ?…

 

OFILEQ vous accueille au Pays Basque pour des formations 100% éleveurs, animées par deux éthologues diplômées spécialistes des cohabitations Homme/Chat, Julie Decompte et Amandine Roulet.

 

 

Des formations basées sur notre socle scientifique et sur notre expérience de terrain

 

Parce que nous sommes consultées aussi bien par des particuliers ayant des difficultés avec leur chaton/chat acheté en élevage que par des éleveurs qui rencontrent, à un moment ou un autre, des difficultés de cohabitation, nous avons eu l’idée de vous réserver une formation exclusive.

Parce qu’aujourd’hui il n’existe pas de formations propres aux éleveurs et que des éleveurs suivent une formation de comportementaliste non pas pour exercer en clientèle mais pour mieux connaître et comprendre leurs chats, nous vous proposons un programme sur mesure.

 

Le « menu » Ofileq

 

- Du 27 au 30 août 2012 : le module 1


=> 4 jours pour aborder le développement précoce du Chat  

Qu'entend-on par développement précoce ? Quel est son impact sur la vie future du Chat ? Quels sont les éléments à prendre en compte pour mettre en place des conditions de développement précoce optimales ?....

  

- Du 2 au 5 janvier 2013 : le module 2 


=> 4 jours autour de la cohabitation Homme/Chat 

Comment favoriser un bon placement du chaton ? Comment éviter d’alimenter l’anthropomorphisme et les idées reçues ? Quels sont les premiers conseils à donner aux adoptants ? ....

 

 

En bref, à l’issue de la formation niveau 1, vous saurez : 

  •  ce qu’est le développement précoce du chat
  •  comment chouchouter vos chatons sans tomber dans les travers de l’hyperstimulation et de l’hyper « manipulation »
  •  comment le monde que vous proposez à votre chaton impacte chez lui
  •  déceler les attentes réalistes et les illusions de vos clients
  •  délivrer les vrais « bons conseils » pour un départ de vos chatons au poil

 

 

Informations pratiques


  •  A proximité de Biarritz (64)
  • Module 1 : du 27 au 30 août 2012 
  • Module 2 : 2 au 5 janvier 2013
  • Tarif : 800 euros pour 8 jours de formations (Module 1 + Module 2)

 

=> Attention ! Formation limitée à 10 personnes 

 

 

Deux moyens pour s’inscrire

 

  • Contactez Julie Decompte par mail ofileq@gmail.com ou par téléphone au 06 08 30 64 90

 

 

Julie DecompteJulie

 

 Ethologue & Consultante

Spécialiste des cohabitations Homme / Chat

Master 2 Ethologie Appliquée - Université Paris 13

 

www.autour-de-mon chat.com

 

 

amandine-bio.jpg Amandine Roulet

 

Ethologue & Consultante

 Spécialiste des cohabitations Homme / Chat

 DEA Biologie du comportement - Université Paris 13

 

www.chatvamal.fr

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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 17:27

 

Nous sommes le 30 janvier 2012 et je ne vous ai pas encore présenté mes voeux pour cette année déjà bien entamée. Il paraît que l'on peut le faire jusqu'au 31, alors comme je suis encore dans les temps, je vous souhaite à tous, visiteurs de passage ou lecteurs plus réguliers, une très belle année 2012.

 

Je ne suis pas la seule à être dans les retardataires question voeux. Aujourd'hui, une de mes premières clientes m'a fait le plaisir, cette année encore, de m'envoyer un petit mail pour la nouvelle année. J'ai reçu un très chouette dessin de ses deux chats Lou et Calipso, que je vais m'empresser de classer avec ceux des années précédentes. Pour voir leur frimousse, je vous invite à visiter sans plus tarder son blog, plein d'humour, de poésie et .... de chats !

 

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(Dusty Bear du Clos des capucines, notre nouveau colocataire)

 

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 13:45

Depuis le 16 juin dernier, vous pouvez retrouver en librairie l'ouvrage de Diana P. Gemelli sur l'alimentation du chat, ouvrage auquel j'ai participé avec grand plaisir.

 

 DSCN3878

 

Extrait du communiqué de presse :

 

Au sommaire de ce livre :

- Les besoins alimentaires du chat et les régimes spéciaux en fonction de son état (âge – pathologie – sédentarité...)

- Le comportement alimentaire du chat, illustré par de nombreux exemples analysés par une éthologue féline

- Les modes d’alimentation : « maison » - industrielle mais bio – mixte

- Plus de 30 recettes pour une gamelle santé, équilibrée et savoureuse

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31 mai 2011 2 31 /05 /mai /2011 09:38
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